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Trends in the Flow of International Private Capital, 1957-65 (Evolution des mouvements de capitaux privés internationaux, 1957-1965) (Tendencia observada en la corriente de capital privado internacional durante los años 1957-65)

Marcus Diamond
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Marcus Diamond: International Monetary Fund

IMF Staff Papers, 1967, vol. 14, issue 1, 1-42

Abstract: Malgré l'accroissement considérable des mouvements de capitaux privés au cours des huit ou neuf dernières années, nombreux sont ceux qui soutiennent, au moins dans les pays en voie de développement, qu'un volume beaucoup plus important de capitaux pourrait être utilement absorbé. Par leur nature même, les capitaux privés ont cependant tendance à se diriger là où le rendement éventuel est maximum, et les pays moins développés ne répondent pas toujours à cette exigence. Les statistiques relatives aux capitaux privés, telles qu'elles sont publiées dans les pays où l'on dispose de ces renseignements (pays dont 14 sont industrialisés, 12 plus développés mais non industrialisés, et 48 moins développés), donnent à penser qu'il s'est produit une augmentation continue des sorties nettes de capitaux à long terme en provenance des pays industrialisés, sorties s'étageant entre 2,0 milliards de dollars en 1958 et 4,8 milliards de dollars en 1965. Les Etats-Unis restent le principal fournisseur de capitaux à long terme aux pays moins développés, bien que leur part de l'ensemble des sorties nettes en provenance du groupe industrialisé ait diminué, tombant de plus de 80 pour cent pendant les dernières années 1950 à environ 50 pour cent à l'heure actuelle. Une partie de plus en plus importante des capitaux nécessaires provient des autres pays industrialisés et des institutions internationales. La situation est moins nette en ce qui concerne les mouvements de capitaux privés à court terme, puisque ces mouvements sont certainement loin d'être tous enregistrés et que, d'autre part, leur nature imprévisible donne lieu à des variations considérables d'une année à l'autre. Dans l'ensemble, au cours des neuf dernières années, il semble que les mouvements nets de capitaux à long terme vers les pays moins développés aient été contrebalancés en partie par un retour net de capitaux à court terme provenant de ces pays. Les recettes nettes de capitaux privés à court terme enregistrées par les pays industrialisés (y compris les erreurs et omissions nettes des divers pays) ont atteint en moyenne environ 1 milliard de dollars par an au cours de cette période. Les 60 pays non industrialisés sur lesquels porte notre analyse ont enregistré en moyenne une perte nette de capitaux privés à court terme (y compris les erreurs et omissions) d'environ 0,4 milliard de dollars par an. /// A pesar del considerable crecimiento que durante el transcurso de los últimos ocho o nueve años ha experimentado la corriente de capital privado, se sostiene a menudo, al menos entre los países en vías de desarrollo, que se podría absorber aún provechosamente un volumen mucho mayor. Sin embargo, el capital privado, por su misma naturaleza, tiende a afluir hacia las regiones que presentan mejores posibilidades de producir el máximo rendimiento, y éstas no siempre son los países menos desarrollados. Las cifras disponibles sobre capital privado de aquellos países que publican esos datos (14 países industriales, 12 países no industriales más desarrollados, y 48 países menos desarrollados), parecen indicar que en la cuenta de capital a largo plazo de los países industriales se ha observado un aumento continuo en la salida neta, que ha oscilado entre US$2.000 millones en 1958 y US$4.800 millones en 1965. Estados Unidos sigue a la cabeza como principal proveedor de capital privado a largo plazo a los países menos desarrollados, pero su participación en la salida neta total de capital del grupo de países industriales se ha reducido de más del 80 por ciento que era en los últimos años del decenio de 1950, a un 50 por ciento aproximadamente que es en la actualidad. Una porción creciente del capital que se necesita ha provenido de los demás países industriales y de los organismos internacionales. El aspecto que presenta la corriente de capital privado a corto plazo es menos definido, puesto que no cabe duda de que gran parte de esa corriente no aparece registrada, en tanto que por su naturaleza volátil ha dado origen a grandes fluctuaciones de un año a otro. En conjunto, durante los últimos nueve años, parte de la afluencia neta de capital a largo plazo hacia los países menos desarrollados ha sido aparentemente neutralizada por una corriente neta inversa de capital a corto plazo procedente de esos países. Durante el período que se analiza, el promedio de los ingresos de capital privado a corto plazo de los países industriales (teniendo en cuenta la partida de errores y omisiones netos de los países) fue de unos US$1.000 millones anuales. Los 60 países no industriales que figuran en nuestro análisis registraron una pérdida neta media de capital privado a corto plazo de unos US$400 millones al año (habida cuenta de los errores y omisiones).

Date: 1967
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