The Financing of the Common Market's Agricultural Policy (Le financement de la politique agricole du Marché Commun) (El financiamiento de la polÃtica agrÃcola del Mercado Común)
J. van Ypersele
Additional contact information
J. van Ypersele: International Monetary Fund
IMF Staff Papers, 1968, vol. 15, issue 2, 267-289
Abstract:
Après avoir décrit les principaux aspects de la politique agricole commune (PAC) de la Communauté Economique Européenne (CEE), cette étude en analyse le financement. L'instrument de la politique agricole commune est le Fonds Européen d'Orientation et de Garantie Agricole (FEOGA); la section "Garantie" prend à sa charge les frais encourus pour stabiliser les prix agricoles intérieurs et subventionner les exportations de produits agricoles effectuées par la Communauté, tandis que la section "Orientation" finance les dépenses afférentes à la réforme des structures agricoles et commerciales. A l'origine, les dépenses engagées par le FEOGA étaient relativement modestes (38 millions de dollars pour l'année s'étendant de juillet 1962 à juin 1963), mais à mesure que l'éventail des produits ayant fait l'objet d'un accord financier s'élargissait et que le Fonds augmentait sa participation aux frais entraînés par la stabilisation des prix agricoles sur le marché intérieur et la subvention des exportations, jusqu'à les prendre totalement à sa charge, le chiffre total des dépenses s'est fortement accru. On prévoit que pour 1968/69 (première année où la politique agricole commune s'exercera à plein) les dépenses se chiffreront à plus de 2 milliards de dollars et l'on s'attend à ce qu'elles restent à peu près à ce niveau par la suite. Le FEOGA est financé par des contributions des Etats membres fixées en fonction d'une formule négociée au sein du Conseil des Ministres. Etant donné que le montant des fonds reçus du FEOGA et celui des contributions qui lui sont faites ne sont pas égaux dans chaque pays, ces différences donnent lieu à des transferts entre les différents membres du Marché Commun. L'auteur étudie ceux qui ont déjà été effectués (dont la France a été le principal bénéficiaire et auxquels l'Allemagne a contribué le plus lourdement) et tente de prédire comment ces transferts évolueront dans l'avenir. /// Este trabajo, luego de describir las principales caracterÃsticas de la polÃtica agrÃcola común de la Comunidad Económica Europea (CEE), pasa a presentar un análisis de cómo se financia esa polÃtica. La misma se lleva a cabo por intermedio del Fondo Europeo de Orientación y de GarantÃa AgrÃcola; la Sección GarantÃas de dicho Fondo tiene a su cargo la financiación del costo de estabilización de los precios internos de los productos agrÃcolas y el de los subsidios a las exportaciones agrÃcolas de la CEE, en tanto que la Sección Orientación financia los gastos que se precisan para las reformas estructurales en materia de prácticas agrÃcolas y de comercialización. Al principio los gastos del referido Fondo europeo eran relativamente modestos (US$38 millones en el ejercicio de julio de 1962 a junio de 1963), pero según fue aumentando el número de productos comprendidos en los acuerdos financieros, y dicho Fondo fue encargándose gradualmente de todo el costo de la estabilización de los precios agrÃcolas internos y del de los subsidios a las exportaciones, sus erogaciones totales se elevaron notablemente. Se prevé que las erogaciones en 1968/69 (primer año en que la polÃtica agrÃcola común se aplicará en su totalidad) ascenderán a más de US$2.000 millones, y se espera que de ahà en adelante las erogaciones de cada año permanecerán aproximadamente a ese nivel. Los recursos del aludido Fondo agrÃcola provienen de las contribuciones que los paÃses miembros efectúan de acuerdo con una fórmula determinada de antemano mediante negociación en el Consejo de Ministros. El hecho de que los ingresos que cada uno de los paÃses miembros del Mercado Común percibe del Fondo agrÃcola y de que sus respectivas aportaciones a ese Fondo difieran entre sà ocasiona transferencias de fondos entre dichos paÃses. El artÃculo que antecede analiza las transferencias que ya han ocurrido (en las cuales Francia y Alemania han sido, respectivamente, los principales beneficiarios y los mayores contribuyentes) y brinda un pronóstico provisional de lo que podrán ser las transferencias futuras.
Date: 1968
References: Add references at CitEc
Citations:
Downloads: (external link)
http://www.jstor.org/stable/3866256?origin=pubexport main text (application/pdf)
Access to full text is restricted to subscribers.
Related works:
This item may be available elsewhere in EconPapers: Search for items with the same title.
Export reference: BibTeX
RIS (EndNote, ProCite, RefMan)
HTML/Text
Persistent link: https://EconPapers.repec.org/RePEc:pal:imfstp:v:15:y:1968:i:2:p:267-289
Ordering information: This journal article can be ordered from
http://www.springer. ... cs/journal/41308/PS2
Access Statistics for this article
More articles in IMF Staff Papers from Palgrave Macmillan
Bibliographic data for series maintained by Sonal Shukla () and Springer Nature Abstracting and Indexing ().