 Structure des bilans et types de croissance des entreprisesEric Huret Économie et Statistique, 1973, vol. 50, issue 1, 3-23 Abstract: [fre] Structures des bilans et types de croissance des entreprises par Eric HURET. Une étude sur les structures de bilan des entreprises est réalisée à partir d'un échantillon de 522 firmes fourni par la centrale des bilans du Crédit national. On étudie d'abord de manière traditionnelle, les différences entre les moyennes sectorielles. Les conclusions économiques qui peuvent en être tirées voulant cependant dépasser la simple comparaison des moyennes, on s'intéresse également à la dispersion des entreprises à l'intérieur de chaque secteur. Il apparaît alors que les dispersions internes à chaque secteur sont tellement considérables qu'elles enlèvent presque toute signification aux comparaisons des moyennes sectorielles. Ainsi, contrairement à une idée reçue, une grande indépendance existe entre structures de bilans et appartenance sectorielle. . Mais que traduisent donc les différences entre les structures de bilan î Pour répondre à cette question un autre regroupement est élaboré fondé précisément sur l'homogénéité des structures de bilan. L'analyse détaillée et la comparaison des groupes obtenus permet alors d'associer à chacun de ceux-ci une « politique de développement typique » qui serait suivie par la majorité des entreprises du groupe. Ces politiques sont décrites comme diverses manières d'associer les objectifs (ou les contraintes) que sont : la croissance interne, la croissance externe, la rentabilité, l'indépendance financière, la distribution des dividendes, etc., ce travail, qui rejoint par une voie très différente les travaux de psychologues ou de sociologues de l'entreprise, est un premier pas pour tenter d'améliorer la description trop globale, ou trop schématique, de l'entreprise, telle qu'elle apparaît dans les modèles macroéconomiques ou dans la théorie macroéconomique. [eng] Balances structures and growth categories of firms by Eric HURET . A study regarding structures of entreprises'balance is carried out parting from a sample of 522 firms supplied by Centrale des bilans du Crédit national. First of all, differences between sectors averages are examined according to traditional ways. The economic conclusions which may be drawn intending nevertheless to go beyond a mere comparison of averages, interest is drawn towards enterprises scattering inside each sector. It then appears that internal scattering in each sector is so important that it practically takes off all signification to sectors average comparisons. Thus, contrarily to a certain conception, a great indépendance exists between balances' structures and sectors appartenance . But, what do differences between balance structures express ? In order to answer this question another regrouping is carried out, exactly based on balance structures homogeneity. The detailed analysis and the comparison of groups which are obtained allows then associating to each of them a « typical development policy » applied by the majority of firms in the group. These policies are described as different ways of associating the objectives (or the constraints) such as : internal growth, external growth, profit-earning capacity, financial indépendance, distribution of dividend, etc This work, which joins up, by a different way, enterprise's psy* cologists or sociologists' work constitutes the first step towards the improvement of the description of the firm which is either too global or too schematic, such as it appears in macroeconomic models or in macroeconomic theory. [spa] Estructuras de los balances y tipos de crecimiento empresarial por Eric HURET. Un estudio relativo a estructuras de balances empresariales se Neva a cabo a partir de una muestra de 522 empresas proporcionada por la Centrale des bilans du Crédit national (Central de balances del Credit nacional). En primer lugar se examina de mariera tradicional las desigualdades entre promedios de sector. Las conclusiones económicas que se pueden sacar, las cuales intentan no obstante superar la mera equiparación de los promedios, el interés va también a la dispersion de las enpresas al interior de cada sector. Parece entonces que las dispersiones internas en cada uno de los sectores son de tanta consideration que quitan cas! todo su significado a las equiparaciones de promedios de sectores. De este modo, al revés de un concepto formado, existe suma independencia entre estructuras de balances / pertenancia sectorial. Mas i que traducen las desigualdades entre estructuras de balance Para contestar a semejante pregunta se elabora otra reagrupación que estriba precisamente en la homogeneidad de estructuras de balance. El anâlisis pormenorizado y la equiparación de los grupos conseguidos permite a la sazón asociar a cada uno de estos una « política tipica de desarrollo » seguida por la mayorla de las empresas del grupo. Estas politicas están resenadas como distintas marieras de asociar los objetivos (o los vinculos), los que son : el crecimiento interno, el crecimiento externo, la rentabilidad, la independencia financiera, la distribueción de dividendos, etc.); este trabajo, que se asemeja si bien por un método muy distinto, a los trabajos de los psicólogos o de los sociólogos de la empresa, constituye el primer paso hacia un intento de mejora de la descripción harto global o harto esquemática de la empresa, tal como aparece en los modelos macroeconómicos o en la teoria macroeconómica. Date: 1973 Downloads: (external link) Related works: Export reference: BibTeX RIS (EndNote, ProCite, RefMan) HTML/Text Persistent link: https://EconPapers.repec.org/RePEc:prs:ecstat:estat_0336-1454_1973_num_50_1_1381 Access Statistics for this article Économie et Statistique is currently edited by Institut National de la Statistique et des Études Économiques (INSEE) More articles in Économie et Statistique from Programme National Persée |
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