Les opérateurs de téléphonie mobile plus taxés que les mines d’or en Afrique ?
Grégoire Rota-Graziosi () and
Fayçal Sawadogo ()
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Fayçal Sawadogo: FERDI - Fondation pour les Etudes et Recherches sur le Développement International, CERDI - Centre d'Études et de Recherches sur le Développement International - UCA [2017-2020] - Université Clermont Auvergne [2017-2020] - CNRS - Centre National de la Recherche Scientifique
Authors registered in the RePEc Author Service: Grégoire ROTA GRAZIOSI
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Abstract:
La taxe sur les appels internet via WhatsApp, Skype ou Viber a déclenché de nombreuses protestations au Liban entraînant la crise politique du pays quelques mois plus tard. De nombreux autres pays, particulièrement en Afrique sub-saharienne (comme l'Ouganda, la Zambie, ou encore le Kenya) ont instauré ou ont essayé d'instaurer (Bénin) des taxes similaires. Ces expériences n'illustrent pas seulement l'effort des gouvernements à taxer de nouvelles bases, mais aussi la sensibilité politique de certaines bases taxables et le design parfois inadéquat de ces taxes qui prennent souvent la forme de droits d'accises spécifiques. De telles taxes s'ajoutent à celles déjà existantes et particulières au secteur des télécommunications.
Date: 2020-12-08
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