Que faut-il attendre des nouveaux accords de pêche UE-ACP ?
Patrice Guillotreau,
Gwenaele Proutière-Maulion () and
Thomas Vallee
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Gwenaele Proutière-Maulion: LEMNA - Laboratoire d'économie et de management de Nantes Atlantique - IEMN-IAE Nantes - Institut d'Économie et de Management de Nantes - Institut d'Administration des Entreprises - Nantes - UN - Université de Nantes
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Abstract:
Depuis la fin des années 1970, l'Union européenne (UE) s'est substituée aux États-membres pour négocier les accords de pêche avec les pays d'Afrique-Caraïbes-Pacifique (ACP). Ces accords prennent souvent la forme d'une compensation financière en échange d'un accès aux ressources du pays tiers. Les analystes sont nombreux pour dénoncer leurs dérives : surpêche, dépendance financière, destruction des filières locales, émigration forcée... La réforme de la politique commune des pêches de 2002 propose un nouveau cadre partenarial visant à mieux équilibrer la part respective des accords commerciaux, des actions de développement et des accords de pêche. L'exemple de l'accord UE-Sénégal, interrompu en 2006, illustre la difficulté à sortir du déséquilibre macroéconomique des pays ACP à l'égard de l'UE.
Date: 2011
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Citations:
Published in Revue Tiers Monde, 2011, 206 (2), pp.177. ⟨10.3917/rtm.206.0177⟩
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DOI: 10.3917/rtm.206.0177
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