Enjeux de l’évaluation économique de l’activité physique
Marlène Guillon (),
Lise Rochaix () and
Jean-Claude K. Dupont
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Marlène Guillon: UM - Université de Montpellier
Lise Rochaix: Hospinomics - PSE - Paris School of Economics - UP1 - Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne - ENS-PSL - École normale supérieure - Paris - PSL - Université Paris Sciences et Lettres - EHESS - École des hautes études en sciences sociales - ENPC - École nationale des ponts et chaussées - CNRS - Centre National de la Recherche Scientifique - INRAE - Institut National de Recherche pour l’Agriculture, l’Alimentation et l’Environnement, UP1 - Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne
Jean-Claude K. Dupont: Hospinomics - PSE - Paris School of Economics - UP1 - Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne - ENS-PSL - École normale supérieure - Paris - PSL - Université Paris Sciences et Lettres - EHESS - École des hautes études en sciences sociales - ENPC - École nationale des ponts et chaussées - CNRS - Centre National de la Recherche Scientifique - INRAE - Institut National de Recherche pour l’Agriculture, l’Alimentation et l’Environnement, UPCité - Université Paris Cité
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Abstract:
L'analyse économique des programmes d'activité physique contribue à faire avancer la question de la prise en charge de ces programmes par la collectivité.L'efficacité de l'activité physique et sportive dans la prévention [66] ou le traitement de maladies chroniques est aujourd'hui établie de manière robuste [31, 53]. Sur la base des études disponibles, un certain nombre de pays a déjà adopté des mesures visant à développer l'activité physique sur un continuum entre la pratique sportive régulière, l'activité physique en prévention et le traitement de certaines pathologies (seule ou en complément d'une autre thérapeutique). Pionnière en la matière, la Suède autorise depuis deux décennies déjà la prescription d'activité physique par le médecin généraliste aux patients à risque ou souffrant d'une pathologie chronique. En France, il aura fallu attendre la loi de santé de janvier 2016 pour que les médecins traitants aient la possibilité de prescrire une activité physique adaptée (APA) aux patients atteints d'une affection de longue durée (ALD). Les réseaux et dispositifs de sport santé se sont dès lors rapidement développés, souvent coordonnés et référencés au niveau local par les agences régionales de santé (ARS)
Date: 2021
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Citations:
Published in Actualité et dossier en santé publique, 2021, 2021/2 (114), pp.43-44. ⟨10.3917/aedesp.114.0043⟩
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DOI: 10.3917/aedesp.114.0043
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